Valenciennes mise à l’honneur dans “Une dentellière à la cour”, une romance historique de Virginie Platel
Née à Valenciennes où elle a passé son enfance, Virginie Platel est devenue scénariste pour la télévision. Elle a notamment participé à l’écriture de séries à succès telles que Un gars, une fille, Scènes de Ménages, Mère et fille… et de fictions pour la jeunesse.
Désireuse de conter ses propres histoires, Virginie a depuis publié plusieurs romans dans des genres différents (Comédie, Romance, Historique, SF Time travel, etc.). Une dentellière à la cour est sa deuxième romance historique publiée chez Harper Collins dans la Collection Aliénor.
Le but de la collection Aliénor, première collection de romance historique française, est de mettre à l’honneur les régions à travers les plus belles histoires d’amour.
« Parler de Valenciennes dans cette collection, c’est aussi donner l’occasion de découvrir cette superbe ville et son passé aux lectrices de France et d’autres pays. Du moins si ce roman s’exporte comme ce fut le cas pour Les derniers feux de la royauté.
J’ai eu à cœur de rendre hommage à ma ville natale, ville d’Art et d’histoire. Le Nord est profondément ancré en moi, j’y ai mes racines et mes souvenirs. Lorsque j’étais enfant, j’ai étudié le violon au conservatoire de musique et des Beaux-Arts où je croisais des dentellières qui tissaient avec passion leur valenciennes sur leur métier, produisant une étrange musique avec leurs fuseaux. Elles m’ont suffisamment impressionnée pour faire germer cette histoire des années après. » confie Virginie.
« Pour situer l’intrigue de mon roman, Valenciennes était vraiment le choix idéal. Il faut dire qu’au XVIIIe siècle, la ville était à la pointe de la modernité (avec le charbon notamment) et elle produisait la dentelle la plus fine et raffinée de France. Elle fut même déclarée obligatoire à la cour de Versailles l’été ! »
« Je me suis régalée à effectuer des recherches pour l’écrire, notamment grâce au précieux concours de la médiathèque Simone-Veil. J’ai ainsi découvert la légende à l’origine de la ville, mais aussi son formidable rayonnement tant commercial, qu’artistique… Des gravures et peintures m’ont permis de reconstituer la topographie de l’époque avec ses remparts, sa campagne environnante. Un travail de fourmi ! J’écris de manière très cinématographique, il faut que la lectrice se sente immergée dans la scène, qu’elle entende le chant des oiseaux, hume les odeurs et ai envie de goûter l’une des nombreuses spécialités du Nord. »
Le Pitch du roman ? C’est l’histoire d’une dentellière de Valenciennes qui tombe amoureuse d’un négociant dépêché dans son atelier de dentelle par la ministre des Modes de Marie-Antoinette et qui se retrouve ainsi propulsée à Versailles. Suite à sa rencontre fortuite avec la reine lors d’un bal, elle sera même amenée à travailler avec sa modiste à la cour !
C’est une romance, oui, mais avec des rebondissements et une bonne dose d’humour ! On découvre aussi bien les dessous de la dentelle à Valenciennes que les coulisses du pouvoir à Versailles, avec un point de vue inédit sur Marie-Antoinette, via sa modiste Rose Bertin qui la fréquentait au quotidien.
Sorti en septembre 2021, « Une dentellière à la cour » Collection Aliénor, Harlequin 368 p. est disponible en ebook et en poche (7,70 €) en librairie (sur commande) comme au Furet du Nord, en grandes surfaces (Auchan, Carrefour…), et sur Internet (Amazon, Fnac, Cultura…).
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